Nancy, la cristallerie oubliée – publication
En partenariat avec l’Académie Lorraine des Arts du Feu, Gérard Caussaint publie son ouvrage Nancy, la cristallerie oubliée (1920‐1934). La préface est de Jean‐Marie Martin‐Hattemberg, expert près la cour d’appel de Versailles. Cette publication a lieu à l’occasion du centenaire de la création des Cristalleries de Nancy.
Au travers des 384 pages d’un ouvrage unique, largement illustré par plus de 400 photos, dessins et documents, Gérard Caussaint emmène son lecteur dans la folle aventure de la cristallerie tombée aujourd’hui dans l’oubli.
Plan de l’ouvrage Nancy, la cristallerie oubliée
Articulé autour de 5 chapitres, de sa création au clap de fin, partez à la découverte de cette histoire du patrimoine industriel lorrain.
Les deux premiers chapitres permettent de découvrir la folle épopée de Jules Alexis Bayet, commis de perception qui a su utiliser les compétences acquises chez Baccarat avant 1914 dans son annexe de Rambervillers, à l’usine d’aviation Esnault‐Pelterie de Lyon puis chez le milliardaire de la parfumerie, François Coty, à Boulogne sur Seine.
Le troisième chapitre est réservé aux hommes qui ont fait le renom de l’entreprise. Une présentation des administrateurs permettra de mesurer l’intérêt de chacun à suivre cette initiative.
Le flaconnage de parfumeur tient une place prépondérante dans les 80 pages du quatrième chapitre réservé aux productions avec de nombreuses d’illustrations.
Alors que la prospérité était là, la crise boursière de 1929 est venue assombrir les perspectives annoncées. Le chapitre cinq met en évidence cette période catastrophique pour le monde du verre.
L’auteur, Gérard Caussaint
Gérard CAUSSAINT, né en 1951 dans une famille de verrier de Bertrichamps (Meurthe‐et‐Moselle), a passé sa jeunesse dans le milieu du cristal de Baccarat.
La découverte de ses premiers flacons à parfum en cristal de Baccarat dès l’âge de 17 ans ouvre la voie vers une collection qui n’a cessé, depuis, de s’enrichir.
Collectionneur amateur, il fréquente régulièrement les marchés aux puces, les salons et les bourses spécialisés (Garons, Grasse, Mulhouse, Strasbourg, Plan de Cuq, etc.), et rencontre d’autres passionnés avec lesquels il échange régulièrement.
Au hasard d’une de ses escapades matinales, il découvre le flacon Toujours Fidèle D’Orsay non estampillé Baccarat mais signé d’un logo qui lui était inconnu, point de départ de plus de quatre années de recherche intense.