Les caractéristiques du vitrage médiéval
Origine du vitrage
Telles qu’elles se présentent dans les Comptes, les mentions de pose de vitrage offrent peu d’occasions de connaître la provenance des verres. Seuls les achats en gros, très occasionnels, permettent d’émettre des hypothèses sur leur origine. En 1430, on apprend que 84 sommes ont été livrées au chapitre de Rouen122, et en 1465, que des plateaux sont apportés au château d’Eu par le verrier Colinet Brossard de la verrerie de Saint-Martin du Bosc123. Le terme de sommes ou de plateaux suggère un façonnage en plateaux (ou disques). Cette méthode de fabrication, dite « française », appartient aux verreries du Nord, du Centre et de l’Ouest de la France. Les plateaux sont livrés en ville, généralement à des marchands verriers ou des merciers, chez qui viennent s’approvisionner les peintres-verriers et vitriers.
Le duc de Bourgogne achète son verre au cent, terminologie qui suppose un façonnage en manchon ou cylindre, une méthode typiquement germanique. Mais le coût n’est pas le même si le manchon est fabriqué en Allemagne ou vient d’Argonne. Une comparaison de prix entre ces deux arrivages est en effet donnée dans le Compte de 1377. Pour les verrières de Dijon, le duc dépense 2 florins et demi le cent, à l’achat de « verre blanc d’Aulemaigne »
, alors que le « verre d’Argonne » vaut 4 francs, soit presque le double124, un surcoût qu’il reste à expliquer.
∧ Haut de pageVerres blancs, verres de couleur, verres peints
Le verre répond à certaines caractéristiques ; ces particularités permettent de justifier les différences de coût. Une première notion, qui nous est devenue totalement étrangère, est celle de « verre neuf » ou de « verre vieux ». Ainsi, le 17 février 1370, Maître Johan Paris, verrier, pose « 19 pies de verre neuf et 32 de verre vieux mis en plomb neuf »
(château d’Exmes)125, soit une proportion de verre vieux plus importante que celle de verre neuf. Une même différenciation dans la qualité du vitrage est faite au Louvre pour le roi126, mais également chez le duc de Bourgogne127. Là, le « viés voirre de Mgr »
est recyclé dans les fenêtres de la chambre du chastelain de Villaines-en-Duesmois 128. Cette pratique de réutilisation du verre semble moins présente au xve siècle.
Durant tout le xive siècle, il est chaque fois spécifié si le verre est incolore ou coloré. Pour la chapelle du château d’Hesdin (1322-1323), sont apportés et payés 53 pieds de verre couleur, et 11 pieds de verre blanc. Une première remarque peut être faite sur la différence de coût entre le verre blanc (2 sous le pied) et le verre de couleur (3 sous le pied)129. Une seconde concerne la répartition. Il est en effet plus employé de verre de couleur que de verre transparent, ce qui ne surprend pas dans une chapelle. L’année suivante, à l’hôpital d’Hesdin, pour neuf fenêtres (1322-1323), ont été placés 14 pieds de « blanc voirre »
et 9 pieds de verre de couleur. Dès que l’on parle des espaces civils, la proportion semble en effet à l’avantage des verres non colorés. Pour les nouvelles chambres au château de Hesdin (1304), il est fait usage de trois livres de verre blanc et de deux livres de verre de couleur130. Et la proportion au profit des verres blancs ne fait que progresser : pour les cinq verrières « devers le cloistre » (1323), sont placés 13 pieds et trois quarts de verre blanc, et seulement 5 pieds un quart de verre de couleur131. Les verres de couleur ne deviennent plus que des pièces décoratives, que ce soit pour la grande salle du Trésor, qui comprend quatre fenêtres, et pour laquelle sont commandés 133 pieds de blanc et 23 de couleur, ou pour un lieu plus privatif, comme le lisoir des dames (monastère Sainte-Claire, Saint-Omer), où 13 pieds de blanc s’imposent sur 2 pieds de couleur (1329)132.
C’est signe que, hors des chapelles et des salles – où le décor peut être figuratif ou armorié –, le verre blanc triomphe sur le verre de couleur. Le verre blanc gagne mais le verre de couleur reste celui qui apporte l’effet décoratif. Il sert à encadrer les panneaux blancs. Dans les bordures, le rouge semble avoir la préférence : « 30 piez de verrières… toute(s) blanche(s), excepté(es) les bourdures, qui sont rouges et blainches »
133. Mais, au xve siècle, cette notion de verre coloré disparaît à tel point que chez le roi René, il n’est plus fait allusion à la couleur du vitrage, le verre est apparemment devenu uniformément blanc.
Il existe une autre catégorie de verre qui concerne autant le verre blanc que le verre de couleur, c’est celle de verre peint ou « verre ouvré »134. Au xive siècle, les chapelles et les salles bénéficient les unes comme les autres d’un parti de mise en images. La chapelle de l’Hôtel de Conflans est ornée de « 27 panneaux de voirre ouvrés et (d’)une chapelle d’ymaginerie à tabernacles »
135. À l’imitation des vitraux des églises et des cathédrales, la chapelle semble avoir été ornée d’une suite de personnages placés sous des niches feintes en forme de « tabernacles », où, pour garder toute la lisibilité aux figures, les vergettes évitent les zones de figuration importantes. Les « 20 verges de fer à barres du travers de la dicte voirrerie dont V d’icelles sont coustées et ploiées pour estre hors des visaiges des ymages d’icelle voirrière »
, est-il précisé, sans doute afin de justifier le coût supplémentaire136. Au château de Beuvry, c’est la salle qui adopte ce type de représentation figurée avec « un panneau contenant l’image du comte d’Artois »
(1324)137.
Fig. 8 : Une fenêtre médiévale vue de l’extérieur, Mendiant à la jambe de bois, décor de miséricorde, stalle de Saint-Lucien de Beauvais, vers 1500, Paris, musée de Cluny, Cl. 19633 © Sophie Lagabrielle.
Moins luxueuse, la mode des décors armoriés est appliquée dans toutes les salles de la demeure, tant au xive qu’au xve siècle (fig. 8). En 1338, « maistre Jehan le Verrier de Saint-Omer (est appelé) pour refaire un penel des verrières en la cambre des fleurs de lys et refaire aud panel le kief des armes de Saint Pol »
138. Et, en 1403, dans l’Écurie de Charles VI, on commande trois châssis de verre « en chascun chassis un escusson, ou premier les armes de France, ou deuxième les armes de la Royne e au troisième les armes de monseigneur le dalphin »
139 L’héraldique est l’un des décors les plus répandus des verrières civiles, armes du roi, armes du propriétaire. Le vitrage civil ne manque pas de célébrer la gloire du commanditaire et de sa maison et de proclamer ses fidélités politiques (fig. 8).
À côté des décors colorés, on trouve des verrières « fettes à bordures et à beste » qui supposent une ornementation sobre et délicate faite à la grisaille sur verre blanc. Les grotesques peints sur le verre transparent sont mis en valeur par des bordures de couleur. Le verre « vigneté » porte un décor de vigne en motifs de rinceaux, comme c’est le cas de trois croisées du château de Poitiers, le coût étant de 10 sols le pied140. C’est également le travail payé « à Jehan de Ses, voirrier de Paris, pour 4 petits panniaux de voirre vigneté »
mis dans une fenêtre de la tour (Hôtel de Conflans) ainsi que dans le pignon de la grande salle (Hôtel d’Artois, Paris)141. Ce décor de rinceaux est typique de l’art précieux du xive siècle.
Pour les différents types de verres décorés, le peintre-verrier manipule la grisaille – à base de fer – qu’il doit fixer sur le verre par un passage à la chaleur d’un petit four. Il parle de « verre paint et recuit »
142. Serait-ce la justification de la présence d’un petit four (« fournel à cuire voirre »
) sur le site du chantier, en 1370, à Hesdin143 ? C’est possible. Car, il en est également question dans les Comptes du duc de Bourgogne où « deux charretées de bois destinées à la recuisson du verre »
sont nécessaires à la réalisation des verrières de la grande chambre du duc au château de Montréal (1377)144.
∧ Haut de pageDéfinir la fenêtre civile médiévale
Dans les églises, les panneaux de vitraux sont directement fichés dans la maçonnerie des baies, exceptionnels sont les châssis. À l’inverse, dans la demeure, ces derniers sont souvent mentionnés. Pour l’Hôtel d’Artois, on parle des « verrières des châssis »
(1312-1313)145, sans autre spécification, mais, au château de Poitiers, il est précisément question de « XII crozées de fer ouvrées en chassix »
fournies par Maistre Pierre Amelier avec les différentes ferrures nécessaires (1384)146. Prises dans une armature de fer, ces croisées métalliques sont destinées à différentes fenêtres du château et peut être les châssis permettent-ils d’en ouvrir et fermer tout ou partie ?
Dans la maison, les châssis utilisés pour les chambranles des ouvertures sont en bois. Ils peuvent recevoir les portes, les volets ou, comme on l’a vu plus haut, les panneaux de toile huilée. Dans ces châssis de bois, le verre s’est petit à petit glissé. Pour le roi Charles VI, Raubert Duguet, hucher, fabrique « 3 châssis de boit d’Ylande… et sont yceulx chassis garnis de fenestres »
(1403)147. Le terme de fenêtre n’impliquant pas la présence de verre, il n’est pas encore assuré que le vitrage soit ici présent. De même, que penser de l’expression : « châssis pour mettre verrières »
du château de Ripaille des comtes de Savoie (1388-1390)148 ? Les châssis sont-ils de fer ou de bois ? Les verrières sont-elles de verre ? Les comptes du roi René apparaissent un peu plus précis lorsqu’ils mentionnent « ung chasseis de boys vitré de verre en la petite escriptoire.... »
(1447)149 ou « une croesée à fust et à verres »
(1454)150. Dans ces dernières, les vitrages sont clairement associés à l’usage du bois.
Chez le roi de Sicile, au milieu du xve siècle, deux notions apparaissent donc. La première permet de lier les châssis de bois au vitrage. De nouveau, dans une transaction de 1464, sont en effet décrites « quatre fenestres dont il y en aura deux à fust et à verre et es autres n’y aura point de verre »
151. Une seconde notion se dégage qui est celle d’une distinction entre ouvrants et châssis. Ainsi, en 1454, le menuisier doit-il « garnir les fenestres croisées et les demyes croisées, qui seront faictes, les unes à fenêtres volantes, les autres enchasillées »
152. Pourquoi différencier les deux genres de fenêtres ? Est-ce pour distinguer des fenêtres ouvrantes (non vitrées) des châssis fixes (vitrés) ? Si nous n’avions pas d’iconographie, l’ambiguïté demeurerait.
Car, la fenêtre du xve siècle offre une image contrastée. Dans les appartements du duc de Bourgogne représentés par Rogier Van der Weyden dans les Chroniques de Hainaut (1446-1449) (fig. 10), la fenêtre est à doubles croisillons et munie de plusieurs volets de bois intérieurs. L’imposte est pourvue de vitres fixes à losanges, les jours médians sont tendus de toiles, les jours inférieurs fermés d’une claire-voie. En conséquence, l’éclairage apparaît très réduit et l’intérieur fort sombre (fig. 9).
Or, d’après Barthélémy d’Eyck (fig. 10), chez le roi René, vers 1464, la fenêtre est désormais aux deux tiers vitrées. Le jour bas de la demi-croisée accueille en partie le verre. Inséré dans un châssis ouvrant, si l’on se fie aux charnières représentées, le vitrage est mobile. Le verre a donc commencé à conquérir les jours bas, selon un parti qui apparemment se généralise au cours de la première moitié du siècle suivant (fig. 11).
Fig. 9 : La mixité d’une fenêtre médiévale, Rogier van der Weyden (v. 1400-1464), Jean Wauquelin présentant son ouvrage à Philippe le Bon (1396-1467), Chroniques de Hainaut, Bruxelles, milieu du XVe siècle, Bruxelles, Bibliothèque Royale © IRPA-KIK, Bruxelles.
∧ Haut de pageConclusion
Fig. 5 : Une fenêtre au milieu du XVe siècle. Vierge de l’Annonciation, Alsace, vers 1450, panneau de vitrail, Paris, musée de Cluny, Cl. 3283 © RMN / Franck Raux.
Fig. 6 : La fenêtre dans la fenêtre, vitrail d’une imposte vitrée représentant les Joueurs d’échecs, vers 1450, panneau de vitrail, Paris, musée de Cluny, Cl. 22422 © RMN / Jean-Gilles Berizzi.
Fig. 7 : Fenêtre à deux tiers vitrée, porteuse d’un décor héraldique. Ordination des premiers diacres, Tenture de Saint Etienne pour la cathédrale d’Auxerre, Bruxelles, vers 1500, pièce de tapisserie, Paris, musée de Cluny, Cl. 20200 © RMN / Jean-Gilles Berizzi.
Dès le début du Moyen Âge, les églises ont résolu l’insertion de panneaux vitrés dans leurs fenêtres. Elles n’ont jamais abordé la problématique de leur ouverture. À leur imitation, les salles des riches demeures ont très tôt aménagé de grandes baies lesquelles ont été souvent placées en hauteur. Or, la communication avec l’extérieur restait une priorité pour les occupants du château ou de l’hôtel urbain. Avec l’adoption de la croisée, la présence de vitrage et la perméabilité avec le dehors pouvaient être conciliés Rien n’empêchait de vitrer les croisées sur toute la hauteur mais si l’on souhaitait conserver l’accès aux jours bas, ces derniers devaient être dépourvus de vitrage. Dans l’iconographie contemporaine, les jours bas apparaissent en effet librement ouverts ou pourvus de claies amovibles tandis que le verre a pénétré les impostes (fig. 5, 6, 8). À partir du milieu du xve siècle, les deux jours supérieurs commencent à recevoir du vitrage, notamment dans les Pays-Bas (fig. 7). Mais rester à résoudre, semble-t-il, la combinaison de l’ouvrant et du verre. Comment concilier l’accessibilité vers l’extérieur et la fermeture par un panneau de verre à réseau de plomb ? En France, c’est le volet qui va devenir le réceptacle privilégié du vitrage (fig. 10, 11). Épais, maintenu par des ferrures aussi larges que lourdes, il n’offrait que peu d’espace disponible à l’intégration du verre, de surcroît alourdi d’un réseau de plomb et de vergettes. La date du passage à ce volet vitré n’est pas connue avec exactitude, mais elle se situe vers le milieu du xve siècle. Le terme de « fenêtres à fust et à verres »
du roi René désignerait ce nouveau parti. Avec l’invention de la fenêtre en partie vitrée et en partie ouvrante, le Moyen Âge parvient à définir le concept de fenêtre civile transparente et modulable dans son accès, en fonction des besoins.
- 122. Archives départementales de Seine-Maritime, G 2489, fol. 17. ↑
- 123. Archives départementales de Seine-Maritime, G 2500 bis, fol. 88. ↑
- 124. Archives départementales de la Côte d’Or, B 4423, f° 10 v° et 36. Voir Prost, op. cit., p. 536, n° 2799. ↑
- 125. Il s’agit de « 19 pies de verre neuf et 32 de verre vieux mis en plomb neuf aux verrières de la chapelle du château d’Exmes et en la grande salle du manoir dudit château où demeure Mre Guillaume du Merle, le capitaine », Quittance de maître Johan Paris, verrier, au vicomte de Falaise, Bibliothèque nationale de France, fr. 26009, n° 847, 848. Nortier, op. cit., p. 124, n° 520. ↑
- 126. En 1364, Berty, op. cit., p. 183, n° 15. ↑
- 127. Archives départementales de la Côte d’Or, B. 4423, fol. 28 ; Prost, op. cit. p. 204, n° 3993, p. 585, n° 3108. ↑
- 128. Archives départementales de la Côte d’Or, B 6562, fol. 23. Prost, op. cit., p. 539, n° 2813. ↑
- 129. Richard, op. cit., p 301, p. 304. ↑
- 130. 1304 : « Pour les noeves chambres du chastel » (de Hesdin), Archives nationales, KK 393 ; Richard, op. cit., p. 299. ↑
- 131. Ibid., p. 300, 301. ↑
- 132. Ibid., p. 302. ↑
- 133. Archives départementales de la Côte d’Or, B 6089, fol. 30 v°. Prost, op. cit., p. 539, n° 2814. ↑
- 134. 1369, 18 octobre, Vernon, pour le château de Goulet : « 22 pieds de verre ouvré et armorié » aux armes du roi », Bibliothèque nationale de France, ms fr. 26008, n° 773, cité in Nortier, op. cit., n° 484. ↑
- 135. Richard, op. cit., p. 303. ↑
- 136. Année 1399-1401, cité in « L’Hôtel de Saint Pol », op. cit., p. 141. ↑
- 137. Archives départementales du Nord, A 423, in Richard, op. cit., p. 301. ↑
- 138. Eperlecques, Archives départementales du Nord, A 610, Richard, op. cit., p. 302. ↑
- 139. Archives nationales, KK 35, fol. 97 ; Comptes de l’Ecurie du roi Charles VI, vol. 2, p. 200, n° 1095. ↑
- 140. Archives nationales, KK 257a, fol. 37 v°, Magne, op. cit., p. 71. ↑
- 141. Archives départementales du Nord, A 366, 365, Richard, op. cit., p. 303-304. ↑
- 142. Archives départementales du Nord, 31 juillet 1417 ; Comte de Laborde, Preuves. Etudes sur les arts et l’industrie pendant le XVe siècle, Paris, 1851, p. 206-207, n° 3998. ↑
- 143. Destiné à la chapelle Saint-Jean, le verre doit en effet être armorié. Le four servirait non pas à la fusion première du verre mais à sa recuisson afin de fixer la peinture. Voir note 88. ↑
- 144. Archives départementales de la Côte d’Or, B 5407, fol. 54. Prost, op. cit., p. 618, n° 3258. ↑
- 145. « Les verrières des châssis qui furent en la sale et les verrières de la chapelle de la chambre de Madame et de la garde-robe, Archives. Nationales, KK 393, fol. 35, Richard, op. cit., p. 303. ↑
- 146. « A maistre Pierre Amelier, pour XII crozées de fer ouvrées en chassis dont l’une et demie si est en la chambre de retrait du chasteau de Poitiers et III autres en la chambre à parer et deux en la sale, et demi en l’oratoyre de la chapelle », Archives nationales, KK 256, fol. 54, cité par Magne, op. cit., p. 56. ↑
- 147. Archives nationales, KK 35, fol. 1091 ; Comptes de l’Ecurie du roi Charles VI, vol. 2, p. 199. ↑
- 148. cité par Chalmin-Sirot, op. cit., p. 133-144. ↑
- 149. A Guillaume Gasteblé, serrurier dudit lieu, pour avoir ung chasseis de boys vitré de verre en la petite escriptoire et pour avoir fait 2 verges de fer audit retrait, 5 gros (Tarascon), Archives nationales, P 1334/14, 1ère partie, fol. 29, Lecoy de la Marche, op. cit., p. 137, n° 366. ↑
- 150. Le marché est conclu avec le menuisier (Angers), Archives nationales, P. 1334/6, fol. 13 v ; Lecoy de la Marche, op. cit., p. 23, n° 67. ↑
- 151. Archives nationales, P 133, fol. 84 v° , marché du 1er décembre 1464, La Baumette, manoir d’Anjou. ↑
- 152. Archives nationales, P 1334/5, fol. 200 v° et 201, 23 août 1454 , Lecoy de la Marche, op. cit., p. 109. ↑